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[Congo] Nouveau crash aérien: les causes ne sont pas encore connues

[Congo] Nouveau crash aérien: les causes ne sont pas encore connues

L’épave de l’avion a été découverte mardi, par la Monuc (mission de Nations Unies au Congo), sur le flanc d’une montagne difficile d’accès.

Parmi les morts du crash aérien qui s’est produit lundi au nord-ouest de la ville de Bukavu, se trouvaient des membres du bureau du Sénat et du Parlement congolais ainsi que des employés de l’Onu.

Outre les deux membres de l’équipage, 15 personnes au total avaient pris place à bord de ce petit porteur de la compagnie « Air Serv International » qui assure généralement le transport des membres des ONG’s occidentales au Congo. Aucun des 17 passagers n’a survécu au drame.

Les causes de l’accident restent à ce jour inconnues. L’épave de l’avion a été découverte mardi, par la Monuc (mission de Nations Unies au Congo), sur le flanc d’une montagne située à environ 16 Km de la ville de Bukavu : un site difficilement accessible.

« Il est beaucoup trop tôt de se pencher à ce volet, a affirmé le chargé de communication de OCHA au micro de la radio Top Congo FM, avant d’ajouter : « Evidemment, en temps voulu, les recherches qui seront faites de l’analyse de cet accident, nous donneront les causes. »

Les compagnies aériennes du Congo sont réputées être peu fiables. Au printemps dernier, le gouvernement avait annoncé une série de mesures portant notamment sur l’interdiction de vols des appareils Antonov, de fabrication russe. Cette fois l’avion n’est pas d’origine russe. C’est un aéronef au service de l’exploitant sud-africain « CEM air » fabriqué en Occident.