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De Gucht: "Privatiser le transport au Congo"

De Gucht: "Privatiser le transport au Congo"

La Belgique plaide pour une large privatisation de l'économie en RDC. C'est ce que l'agence AFP écrit après un séminaire sur les transports auquel a participé le ministre belge des Affaires Etrangères, Karel De Gucht.

KINSHASA, 2 fév 2006 (AFP) - Le ministre belge des Affaires étrangères Karel De Gucht a plaidé jeudi à  Kinshasa pour une privatisation de l'économie en République démocratique du Congo (RDC), notamment dans le secteur des transports.

"Il n'y a pas d'alternative au secteur privé si on veut véritablement redynamiser l'économie d'un pays", a déclaré M. De Gucht, membre du parti libéral-démocrate flamand (VLD), lors d'un séminaire sur les transports organisé dans la capitale congolaise.

Les "modalités de l'implication du privé" peuvent prendre plusieurs formes, a toutefois souligné le ministre belge: "aide à  la réforme, privatisation de la gestion, partenariat public-privé ou privatisation pure et simple".

Les transports en RDC sont dans un tel état que "l'accès aux service de base est impossible" et que cela constitue "l'obstacle principal à  la stabilisation et au développement économique" du pays, a de son côté souligné le ministre congolais des Transport, Evariste Mwakasa.
"L'expérience des entreprises publiques a été un échec dans tous les secteurs, en particulier dans les transports", a relevé pour sa part le ministre du Plan, Alexis Tambwe Mwamba.

Dans les aéroports, les ports, les chemins de fer, le "principe de départ doit être un partenariat entre gestion privée et publique", avec des opérateurs étrangers notamment, a continué M. Tambwe Mwamba. "Il faut agir par étapes, en donnant d'abord un mandat à  un opérateur, puis envisager dans 5 ou 7 ans une privatisation partielle ou totale du capital", a-t-il ajouté.