Indymedia.be is niet meer.

De ploeg van Indymedia.be is verhuisd naar DeWereldMorgen.be waar we samen met anderen aan een nieuwswebsite werken. De komende weken en maanden bouwen we Indymedia.be om tot een archief van 10 jaar werk van honderden vrijwilligers.

Vers une police où le dialogue n’existe plus ?

Vers une police où le dialogue n’existe plus ?

Qu’est devenu un service aussi important que celui de la police. Les interventions de diverses patrouilles deviennent « au petit bonheur, la chance ».

Qu’est devenu un service aussi important que celui de la police. Les interventions de diverses patrouilles deviennent « au petit bonheur, la chance ».

Aujourd’hui, je n’ai plus 20 ans et mes tempes deviennent grises. Dans les années 70, clairement je n’aimais pas trop la police. (Année punk : contre l’état policier).
Devenu adulte, bien entendu ma perception a évolué vers plus de respects, d’autant plus que mon métier est aussi un métier de population et de service public.
Curieusement, j’avais même plus de respect pour la gendarmerie que je trouvais respectable.
J’aimais aussi, l’image du flic de quartier, sympathique comme dans un « Quick et Flupke »
ou l’agent 22 du scénariste Raoul Cauvin.

Comme je travaille dans diverses ASBL dont d’aide juridique, je suis confronté depuis plusieurs mois au « force de l’ordre » !!! Avec un étonnement grandissant qui va jusqu’au scandale. Sauf preuve contraire, les services de police sont au service du citoyen.
A son écoute. Ce que je ne constate plus dans les « faits ». Les réactions sont tellement identiques et similaires, que je me pose des questions : style : ont-ils une formation où ils apprennent « Que dire » « Comment réagir ».
Le positif, souvent un grand calme, peu d’énervement (quoique !!).

Deux exemples. Une patrouille intervient au domicile d’une amie, pour des faits de voisinage, plus ou moins important (Bien entendu, les faits ont montés en puissance les semaines suivantes jusqu’à un point de non-retour).Immédiatement, les policiers minimisent, « Madame, il ne faut pas déranger les forces de l’ordre pour si peu » … « Ce n’est rien, faites appel à votre agent de quartier ».( Qui semble lui aussi débordé ).Rapidement aussi, on écarte, parfois par un ton ferme, d’autres intervenants. Attention, il est possible que d’autres interventions soient plus « urgentes » ailleurs. Souvent aussi, les policiers repartent sans même avoir rédigé un document ou un autre !!!

Dernièrement, ainsi, une patrouille est intervenue au domicile d’une proche.
Cette fois, la patrouille a jugé bon d’embarquer cette dame ( 45 ans) :pieds nus et sans aucun document d’identité, sa porte est restée ouverte ( non sécurisée) , son portefeuille dans le hall d’entrée ( tous documents et carte de banque) à la portée de tous !!!!

Il est donc temps, que nos patrouilles se forment à plus de civilités et de serviabilités.

Thierry_rhodan chez yahoo.fr