Belbazi17 september 2008 – 19:28

Une virée aux établissements hospitaliers au Maroc nous a permis d’enregistrer, de tâter et de voir de plus près la situation de cette frange importante du secteur névralgique qu’est celui de la santé.
Manque d’équipement et de moyens, difficultés d’accès au soin, disparité entre rural et urbain, une prévention et un dépistage des maladies à améliorer, voici quelques réalités de la santé au Maroc
Voyons la situation en quelques exemples quotidiens, en quelques chiffres, et à travers l’action des grandes organisations internationales.
Le manque de médecins et de matériel : il y a en moyenne 1 médecin pour 3700 personnes. Parfois, ce fameux médecin se trouve à plusieurs kilomètres du domicile de la personne et ne bénéficie pas forcément de matériel .
On a Constater qu'un établissement public sur cinq ne dispose dans son équipe d'hygiène ni de médecin. C'est placer les patients en situation d'insécurité. Quant aux établissements qui ne mesurent pas leurs infections, ils ne peuvent évidemment pas être performants, car cette surveillance est actionner un préalable évident si l'on veut faire baisser les taux d'infections. La situation que vous révélez est très surprenante pour certains établissements comme les centres hospitaliers Ghaba à kenitra et polyclinique al gharbe et anwale . Pour ces établissements de référence, il n'y a aucune justification possible. Si le CH Ghaba suit ses infections dans la plupart de ses services, on voit mal comment celui de gharbe, par exemple, peut ignorer ce problème. En fait, c'est simple, on a fait le choix de la sécurité des patients, pas à Ghaba . Autant on peut penser que les petits établissements ont des problèmes de moyens, autant je suis stupéfait de constater que des hôpitaux importants prennent ce problème à la légère. En réalité, au sein des établissements, les équipes d'hygiène n'ont aucune autorité. Et comme il n'existe aucune obligation ni sanction pour ceux qui ne font rien, on ne voit pas comment les choses peuvent évoluer favorablement. L'Etat se doit de réagir. Sauf à croire qu'il ne se préoccupe pas de la sécurité des patients
Un hôpital, un vrai ! Avec un service de chirurgie, d’orthopédie, de réanimation, de pneumologie, de cardiologie, de médecine interne etc. avec ses chef de service, ses agrégés, ses assistants, ses résidants, internes et externes. De surcroîts qui se trouve dans la banlieue de Kenitra , et qui s’appelle hôpital Ghaba. On se dit c’est l’hôpital militaire bis .
Si tu veux te reposer ; je dis bien te reposer parce en garde tu n’as pas le droit de dormir !!!! C’est bien connu surtout avec le débit énorme de cet hôpital, et bien c’est simple, on te dit officiellement bien sur, tu as à ta disposition l’hôpital de jour !! « MERCI !!!!
voici quelques réalités de la santé au Maroc

Je reviens du bled et je suis effarée par l'état pitoyable qu'ont les hôpitaux publics au Maroc.
J'étais dans la ville d'Oujda et l'hôpital Farabi est dégoûtant : il y a des chats partout dans l'enceinte de l'hôpital, des malades sanguinolents qui attendent depuis des heures, un droit d'entrée aux urgences de 40 DH et cela avant qu'on vous demande de ressortir acheter les médicaments....Les chambres ne sont pas mieux : les malades sont entassés à 8 dans la même chambre, même les draps ou couvertures ne sont par fournis !!!!. Les visiteurs ont en un rien de temps envahit la chambre.
Et à côté, il existe des cliniques privés où le séjour se paie à 1200 DH la nuit et là, vous êtes soignés convenablement.
Mais où va le Maroc ? N'existe-t-il pas de budget santé ?
J'en suis revenue écoeurée et je prie Dieu qu'Il vienne en aide à tous ceux qui sont malades...

BIEN VENU VOUS ETES ICI CHEZ VOUS, comme dit la chanson qu’on nous chante chaque année à pareille époque
Cette année, mon fils ( 2ans )a eu un malaise pendant les vacances et je suis passé dans cet hôpital de Kenitra {ghaba + anwal +algharbe ++++].
C'était pendant la nuit,la porte de l'hopital etait ferme,il fallait taper fort au portail pour qu il ouvre la porte et demande ce que je voulais,je lui est dit que mon fils ne sentais pas bien il ma dit de rentrer mais ma femme devrait rester dehors. Imaginez une femme toute seule a4 heur du matin dans la rue.J'ai insiste qu'elle rentre et attend dedant (l infirmier} nous demande d’attendre l arrivé de médecin qu il appelle et pas de réponse.vous imaginez un hopital sans medecin ( selon la demande)et si jamais .......
Avec le temps en dis d’aller à un autre hôpital , ghaba à Kenitra et ça commence : Il y avait des malades partout allonges parterre,ils criaient de douleur. Un docteur paraissait comme un boucher son tablier blanc sale et sa casquette aussi. il avait toujours la cigarette à la bouche.
à la fin on a attendu jusq au Matin pour voir un medecin généraliste.

L’année dernière j'était pour le décès de mon défunt père à Oujda ville dont je suis originaire. Un jour, une copine m'appel pour me demander de l'emmener a cet hôpital car elle était pliée de douleur, ce que je fais de suite , arrivé a ce fameux hôpital, avant d'entrer il fallait payer, une fois a l'intérieur je l'accompagne pour l'occultation, arrive un petit chef et me trouve avec la copine et me demande qui j'étais je lui dis un copain il me hurle de sortir et que je n'avais pas le droit d'être la ...je me suis offusqué et lui ai renvoyé l'ascenseur sur son comportement moraliste et qu'il fallait peut être mieux faire son travail au lieu de s'occuper de la vie des autres. Moi qui ai vécu jusqu'a l'âge de 18a à oujda je trouve que l'hôpital s'est plutôt dégradé et que c'est toujours les pauvres qui en payent les frais.nous seroje l'ai toujours dis,la région de l’oriental au Maroc est laisser pour compte par le gouvernement, que ce soit pour les routes ou pour les hôpitaux cela craint.
mais espérant qu’avec le changement qu’il va avoir avec fadesa et saidia cela va changer inchallah.
moi aussi j’ai eu un problème avec les soits disant urgence de taourit, ma fille a l’age de 3ans c’est fait une grave coupure à la main, elle a était recousue à vif et avec la lumière d’une petite bouteille de gaz, car il avait une coupure de courant, et n’avait pas d’anesthésiant ,j’allais mourir de douleurs et de colère avec ellent etrnellement à la traine? a méditer….
c 'est pour tout cela les Marocains soit residant au maroc ou à l etranger demandent une intervention poussée de l’État.